Omnitrope 6,7 mg ml solution injectable Notice

Une appréciation de la qualité de vie ainsi que des paramètres de composition corporelle, en les comparant aux données de l’examen avant traitement, permet de décider de la poursuite du traitement. Lorsqu’il est décidé de traiter par GH un déficit secondaire à une lésion intracrânienne, les patients devront être suivis régulièrement afin de dépister une éventuelle progression ou une récidive. Toute récidive ou progression de la tumeur implique l’arrêt du traitement. L’expérienceen ce qui concerne l’initiation du traitement juste avant la pubertéchez les enfants nés petits pour l’âge gestationnel est limitée.

Aucune étude n’a été réalisée concernant les effets d’Omnitrope sur la fertilité. Afind’améliorer la traçabilité des https://www.kingscoveholland.com/exemestane-la-nouvelle-tendance-dans-le-culturisme/ médicaments biologiques, le nom et lenuméro de lot du produit administré doivent être clairement enregistrés.

Se reporter à la rubrique Mises en garde spéciales et précautions d’emploi pour l’information concernant le diabète sucré et les troubles thyroïdiens, et à la rubrique Posologie et mode d’administration pour l’information concernant le traitement substitutif oral par les œstrogènes. Ilconvient d’informer les patients atteints d’une affection hépatique ourénale que de grandes quantités d’alcool benzylique peuvent s’accumulerdans leur corps et entrainer des effets secondaires (appelés « acidosemétabolique »). L’expérienced’un traitement au long cours par l’hormone de croissance chez l’adulteet les patients présentant un syndrome de Prader-Willi est limitée. Descas d’épiphysiolyse fémorale supérieure et de maladie deLegg-Calvé-Perthes ont été rapportés chez des enfants traités parhormone de croissance.

  • Elle doit être administrée en utilisant desaiguilles à stylo stériles jetables.
  • Solution injectable dans une cartouche pour SurePal 5, SurePal 10, SurePal 15.
  • Rétention d’eau se traduisant par des œdèmes, douleurs articulaires ou musculaires, fourmillement des extrémités.
  • Unepartie du gain de taille chez les enfants/adolescents nés petits pourl’âge gestationnel traités par l’hormone de croissance pourraitdisparaître si le traitement est arrêté avant que la taille finale nesoit atteinte.

Chez tous les enfants, la scoliose estsusceptible d’évoluer lors d’une croissance rapide. Les signes descoliose devront être recherchés au cours du traitement. Bienque rare, une pancréatite doit être envisagée chez les patients traitéspar la somatropine présentant des douleurs abdominales, notamment chezles enfants. Encas de céphalées sévères ou répétées, de troubles visuels, de nauséeset/ou de vomissements, il est recommandé d’effectuer un fond d’œil afinde dépister un éventuel œdème papillaire. Si celui-ci est confirmé, undiagnostic d’hypertension intracrânienne bénigne devra être considéréet, s’il y a lieu, le traitement par l’hormone de croissance devra êtreinterrompu. L’état actuel des connaissances ne permet pas de donner desconseils spécifiques concernant la poursuite du traitement parl’hormone de croissance chez des patients ayant une hypertensionintracrânienne résolue.

> 1 cartouche(s) en verre de 1,5 ml

L’injectiondoit être sous-cutanée et il est nécessaire d’alterner les sitesd’injection pour éviter l’apparition de lipoatrophies. Depuis la dernière évaluation par la Commission en date du 3 octobre 2012 (renouvellement d’inscription), la place d’OMNITROPE (somatropine) dans la stratégie thérapeutique n’est pas modifiée. Toutes les substances actives avec leur application, leur composition chimique et les médicaments dans lesquels elles sont contenues.

Présentations Omnitrope

Durée de conservation après première utilisationAprèsla première utilisation, la cartouche doit demeurer dans le stylo etêtre conservée au réfrigérateur (entre 2°C et 8°C) pendant un maximumde 28 jours. A conserver et transporter réfrigéré (entre 2°C et 8°C).Ne pas congeler. Le traitement devra être interrompu en cas de transplantation rénale. L’apnéedu sommeil devra être évaluée avant l’instauration du traitement parl’hormone de croissance par des méthodes reconnues telles que lapolysomnographie ou l’oxymétrie durant la nuit, et surveillée si elleest suspectée.

Il existe donc un risque que les femmes, en particuliercelles ayant un traitement substitutif oral par les œstrogènes, soientsous-dosées alors que les hommes seraient surdosés. Par conséquent, labonne adaptation de la dose d’hormone somatotrope devra être contrôléetous les 6 mois. La sécrétion physiologique d’hormone de croissancediminuant avec l’âge, une réduction de la posologie est possible.

La dose d’entretien, chez cespatients, excède rarement0,5 mg par jour. Il doit être administré exclusivement avec le stylo injecteur Omnitrope Pen 10, un dispositif d’injection spécialement conçu pour être utilisé avec Omnitrope 6,7 mg/ml solution injectable. Dans certains cas exceptionnels, ce médicament peut être utilisé chez l’adulte souffrant d’un déficit en hormone de croissance. Engénéral, ces effets indésirables sont peu sévères à modérés, ilssurviennent dans les premiers mois du traitement et diminuentspontanément ou après une diminution de dose. Tousles patients atteints d’un syndrome de Prader-Willi devront égalementfaire l’objet d’un contrôle pondéral efficace avant et pendant letraitement par l’hormone de croissance.

Parconséquent, il n’est pas recommandé d’initier le traitement juste avantla puberté. L’expérience chez les patients présentant un syndrome deSilver Russel est limitée. Chezles patients adultes présentant un déficit somatotrope acquis à l’âgeadulte, le traitement doit débuter avec une faible dose, de 0,15 à 0,3mg par jour. La dose peut être augmentée progressivement en fonctiondes besoins du patient, déterminés par le taux d’IGF-1. Chezles patients poursuivant un traitement par l’hormone de croissanceaprès un déficit somatotrope acquis dans l’enfance, la dose recommandéepour la réinstauration est de 0,2 – 0,5 mg par jour.

Lafréquence de ces effets indésirables est liée à la dose administrée età l’âge des patients ; elle peut être inversement liée à l’âge despatients lors de l’apparition du déficit en hormone de croissance. Descas de leucémie ont été rapportés chez un nombre restreint de patientsprésentant un déficit en hormone de croissance, certains d’entre auxayant traités par la somatotropine. Toutefois, il n’a pas été démontréque l’incidence des leucémies soit augmentée chez les patients sansfacteurs de risque receveurs d’hormone de croissance. Chezles patients présentant des affections endocriniennes, y compris cellesrelatives à un déficit en hormone de croissance, la survenue d’uneépiphysiolyse de la hanche peut être plus fréquente que dans lapopulation générale. Tout patient présentant une claudication au coursdu traitement par la somatropine devra être examiné. Encas de déficit somatotrope secondaire à un traitement antitumoral, ilest recommandé de surveiller les signes éventuels de récidive duprocessus tumoral.